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Tuskaland

DEF : Davignac ... Frémont

Davignac ... Frémont

Davignac (19)

Dirac (16)

Dolmayrac (47)

Doumérac (16)

Douzat (16)

Eaunes (31)

Echillais (17)

Empeaux (32)

Endoufielle (32)

Engayrac (47)

Engayresque (12)

Engers (32)

Engomer (09)

Ensigné (79)

Esbareich (64)

Esbérous (32)

Esbints (09)

Escales (11)

Escalquens (31)

Escarbotin (80)

Escary (64)

Escatalens (82)

Escaudes (33)

Escayrac (46)

Esconac (33)

Escot (64)

Escoulis (31)

Escource (40)

Escout (64)

Escueillens (11)

Escugnos (31)

Escurès (64)

Espagnac (19)

Espalais (82)

Espalion (12)

Esparros (65)

Espartignac (19)

Espeillac (12)

Esperce (31)

Espère (46)

Espieilh (65)

Espiens (47)

Espiet (33)

Espiute (64)

Esquerdes (47)

Esquiule (64)

Estaing (12)

Estaques (32)

Estarac (31)

Esténos (31)

Estialescq (64)

Estibeaux (40)

Estigarde (40)

Estignac (24)

Estillac (82)

Etaules (17)

Eycars (33)

Eycheil (09) Egill

Eygun (64)

Eyquem (33)

Eyrans (33)

Eyrein (19)

Eysines (33)

Eyzerac (24)

Falgayrac (81)

Fier, Pointe de (17)

Fignac (15)

Flagnac (12)

Flamarens (32)

Flaugeac (24)

Flaujagues (33)

Fléac (16)

Flotte, La (17)

Foix (09)

Fourmagnac (46)

Fournac (81)

Frayssinhes (46)

Frédignac (33)

Frégimont (82)

Frégouville (32)

Frémont (09)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

D5

Davignac (Corrèze)

Cette section est vide.

Davignac pourrait correspondre à Dagvinhaug, la motte de Dagvinn.

 

Dirac (Charente)

L'origine du nom de Dirac remonterait à un personnage gallo-romain Atirius (dériv de Atilius)11, ou germanique Adarus, auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait au « domaine d'Atirius »12.

Dirac serait uen évolution de Dirhaug, la motte de Dir.

 

Dolmayrac (Lot-et-Garonne)

Cette section est vide.

Dolmayrac pourrait être une évolution de Domarhaug, la motte de Domarr.

 

Doumérac (Charente)

Cette section est vide.

Doumérac pourrait être une évolution de Domarhaug, la motte de Domarr.

 

Douzat (Charente)

Les formes anciennes sont Dozac en 1110villa Doziaco au ixe siècle7Dozac et Dozzac au xiiie siècle8. L'origine du nom de Douzat remonterait à un personnage gallo-romain Doccius ou Dotius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Docciacum, « domaine de Doccius »9,10,11.

Douzat, anc. Dozac,  pourrait être une évolution de Dushaug, la motte de Dusi. A rapprocher de Douzac (Charente maritime) et Doussac (Vienne)

 

 

E58

Eaunes (Haute-Garonne)

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Eaunes pourrait être une évolution phonétique de Jonhus, la maison de Jon, lire Yone/Eaun. 

 

Echillais (Charente maritime)

Cette section est vide.

Echillais, anc. Echillos, pourrait être une évolution d'Eykellhus, la maison d'Eykell. A rapprocher de Léguillac-de-Cercles (Dordogne). Voir Eycheil.

 

Empeaux (Gers)

Cette section est vide.

Dans une grille de lecture scandinave, Empeaux pourrait correspondre à Ambhus, la maison d'Ambi. Le fait que b devienne p est possible, mais si c'est rare. Le lieudit Lambès à Empreaux semble confirmer l'origine scandinave. Lambès serait une évolution de L'Ambhus.

 

Endoufielle (Gers)

Le nom de ce lieu est connu depuis le milieu du xie siècle par celui d'Aton, seigneur d'Endoufielle13, mais l'attestation de la forme primitive fait défaut. Il s'agit sans doute d'un nom de lieu mérovingien en -villa qui a donné -viala en languedocienvièla en gascon, francisé par la suite en -ville-vielle ou -fielle dans la même région. Le premier élément est sans doute le nom de personne Andulfus, forme latinisée d'un anthroponyme gotique cité par Marie-Thérèse Morlet15-vielle serait passé à -fielle, par assimilation du [v] de -villa au [f] de l'anthroponyme. Quant à l'initiale primitive An-, elle paraît avoir été tardivement modifiée en En-, peut-être d'après les très nombreux toponymes en en16 + nom de personne attestés dans le Gers. Le nom de personne Andulfus se perpétue peut-être dans le patronyme Andou attesté dans le sud ouest à époque ancienne17, et certainement dans le patronyme italien Andolfi. L'hypothèse d'une origine gothique du premier élément est renforcée par le fait que -ville est précédé le plus souvent par un nom de personne germanique, ainsi que par l'existence, dans les environs immédiats, du village de Goudourville qui remonte, selon Albert Dauzat et Charles Rostaing18, à Gothorum villa « village des Goths ». La même variante en -fielle se retrouve par ailleurs dans Renoufielle (ancienne paroisse, aujourd'hui lieu-dit à L'Isle-Jourdain : Renoufielle 159519 et 176320Renouffiel1763/178821Renouffielle 1753/178522) et dans Ségoufielle (Seguenvilla 119623).

Endoufielle pourrait dériver d'un prénom scandinave, peut-être Arnthjolf.

 

Engayrac (Lot-et-Garonne)

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Engayrac serait une évolution d'Asgeirhaug, la motte d'Asgeir. A rapprocher de Angerville (Calvados) et Angreville (Seine maritime), évolutions d'Asgeirvilla

 

Engayresque (Aveyron)

Pas d'étymologie proposée.

Engayresque pourrait être une autre évolution d'Asgeirhaug, la motte d'Asgeir. 

 

Engers (Gers)

Cette section est vide.

Engers pourrait être une évolution d'Ingvarhus, la maison d'Ingvarr. 

 

Engomer (Ariège)

Peut-être du nom de personne germanique Ingomares, attesté dans le Polyptyque de Wadalde (NPAG, I, 145a)3.

Engomer pourrait être une évolution du prénom Ingmar. A proximité, Astien (Hastein), Arrout (Harold), Eycheil (Eykell), Salsein (Solsi) semblent signaler une forte présence scandinave dans la vallée du Lez

 

Ensigné (Deux-Sèvres)

Pas d'étymologie proposée.

Ensigné pourrait être une évolution d'Hasteinhus, la maison d'Hastein. 

 

Esbareich (Pyrénées-atlantiques)

Cette section est vide.

Esbareich pourrait correspondre à un prénom ressemblant à Svarek. Ce prénom ne serait pas à proprement parler scanidnave, mais plutôt originaire des pays slaves. Il est certain que parmi les Vikings, une grande partie n'étaient pas d'origine scandinave. Parmi les noms non-scandinaves, on trouve le prénom anglo-saxon Argill. Les linguistes latinisant vont lire dans Argelos, le lieu où il y a de l'argile.

 

Esbérous (Gers)

Cette section est vide.

Le château d'Esbérous pourrait être une évolution de Sverhus, la maison de Sverri

 

Esbints (Ariège)

Pas d'étymologie proposée.

Esbints pourrait être une évolution de Svenhus, la maison de Sven. Esbans (Cantal) aurait la même origine. 

 

Escales (Aude)

Cette section est vide.

Malgré sa signification française évidente, Escales pourrait être une évolution de Skalhus, la maison de Skali. 

 

Escalquens (Haute-Garonne)

Cette section est vide.

Escalquens pourrait être une évolution de Skalkhus, la maison de Skalki

 

Escary (Pyrénées-atlantiques)

Cette section est vide.

Escary pourrait être une évolution du prénom Skari.

 

Escatalens (Tarn-et-Garonne)

Le nom de la localité est mentionné sous la forme El feus des Catalencs en 11793,4Albert Dauzat et Charles Rostaing, reprenant une proposition d’Emil Gamillscheg5 émettent l'hypothèse d’un nom de personne germanique pris absolument, plus spécifiquement gotiqueSkathaling, surnom signifiant « personne nuisible » cf. allemand Schädling. Certes, les noms gothiques ou plus généralement germaniques, employés seuls, sont nombreux dans la toponymie occitane, mais ces auteurs ne citent aucune forme ancienne sur laquelle s'appuyer comme dans toute étude étymologique6. La forme des Catalencs relevée en 1179 est incompatible avec cette explication. Ernest Nègre opte aussi pour un anthroponyme germanique pris absolument, mais de nature différente, à savoir : Gadelingus rapporté par Marie-Thérèse Morlet7,4

Malgré la mention dénuée d'ambiguïté de 1179, les linguistes y voient un nom germanique. Ils considèrent que ce toponyme a été arbitrairement rapproché du mot ressemblant "Catalan". Escatalens pourrait entrer dans une grille de lecture scandinave : Asketillhus, la maison d'Asketill. Alors que les voyelles n'ont aucune stabilité phonétique, les consonnes sont plus stables. Les linguistes s'attachent à l'enchaînement  s-k-t-l-s.

 

Escaudes (Gironde)

Le nom dérive du latin squalidas [terras] "terres incultes" (squ?l?das > squ?ldas [disparition de la voyelle brève] > sc?udas [simplification qu > c et vocalisation l > ? typique du gascon] > escaudes [e avant s initial + consonne, a atone prononcé [?] en gascon occidental])3. Une étymologie populaire fantaisiste fait dériver le nom de "aygues caudes" (aigas caudas), soit "eaux chaudes", les habitants du lieu reconnaissant "caudes"4. Néanmoins, "aygues" ne peut pas mener à "es-" selon les lois de la phonétique historique.

Escaudes pourrait être une évolution Skaldhus, la maison de Skaldi. Les Escaldes (Pyrénées-orientales) pourrait avoir la même origine. 

 

Escayrac (Lot)

Pas d'étymologie connue.

Escayrac semble être une évolution de Skerhaug, la motte d'Asker. Asker est une autre graphie connue du prénom Asgeir. Askerhac va être l'objet d'une aphérèse, et donner Skerhac. Skerhac va être "canonisé" en S. Kerhac et donner Saint-Queyran (Gironde), Saint Créac (Hautes-Pyrénées), Saint Cricq (Gers), Saint-Quirc (Ariège),  Saint-Cirq (Dordogne), Saint Cirac (Haute-Garonne).

 

Esconac (Gironde)

Pas d'étymologie connue.

Esconac semble être une évolution de Skaanhaug, la motte de Skaan, un habitant de Scanie, probablement un surnom.

 

Escot (Pyrénées-atlantiques)

Le toponyme Escot apparaît2 sous les formes Scot (1096, titres de Barcelone3), Eschot (1154, titres de Barcelone3), Sancta Maria d'Escot (1618, insinuations du diocèse d'Oloron4) et Ascot (1675, réformation de Béarn5). Les Écossais, nommés Scottius par les Gallo-romains, ont donné leur nom à Escot.[réf. nécessaire]

Escot pourrait tout simplement être une évolution de Skot, surnom désignant un Ecossais.

 

Escoulis (Haute-Garonne)

Cette section est vide

Escoulis serait une variante de Skulhus, la maison de Skuli.  Voir Escueillens (Aude), Escoulan (Haute-Garonne)

 

Escource (Landes)

Pour Orpustan, du basque ezkurr, gland et par extension lieu planté de chênes. Il est le seul a proposer une interprétation.

Escource pourrait être une évolution d'un nom commun : skurhus ou skorhus. Skur désigne un hangar ; skor désigne une cheminée. A Escource, Champagne, évolution de kaupang, désigne un marché. 

 

Escout (Pyrénées-atlantiques)

Plusieurs hypothèses ont été évoquées. Pour certains, ce nom béarnais pourrait signifier écossais ou poste de guet ou être un dérivé du nom de ruisseau « Escou ». L'hypothèse la plus vraisemblable est es coot (le pâturage)8.

Escout pourrait correspondre au prénom Skuti

 

Escueillens (Aude)

Pas d'étymologie connue.

Escueillens-et-Saint-Just-de-Bélengard pourrait être une évolution de Skulhus, la maison de Skuli.

 

Escugnes (Haute Garonne)

Pas d'étymologie connue.

Escugnes pourrait être une évolution de Skygnhus, la maison de Skygni. 

 

Escurès (Pyrénées-atlantiques)

Pas d'étymologie connue.

Escurès pourrait correspondre à skurhus, entrepôt. Voir Escource (Landes)

 

Espagnac (Corrèze)

Pas d'étymologie connue.

Espagnac pourrait être une variante de Spjalhaug, la motte de Spjalli.  Il aurait dû évoluer en Espaillac. Voir Espeillac (Aveyron)

 

Espalais (Tarn-et-Garonne)

Aucun document ne permet de préciser l'origine d'Espalais, dont le nom vient du latin "Palatius",

Espalais pourrait être une évolution de Spjalhus, la maison de Spjalli. Ce toponyme est particulièrement intéressant car il pourrait avoir la même origine sue les Saint-Palais que l'on trouve en Charente-maritime et dans les Pyrénées-atlantiques.

 

Espalion (Aveyron)

Pas d'étymologie connue.

Espalion pourrait être une autre version de Spjalli. Spjalli est le genre de prénom qui aurait pu être "canonisé". Spjalli aurait pu évoluer en S.Pjalli et donner Saint Palais présent en Charente maritime, Charente et Pyrénées-atlantiques.

 

Esparros (Hautes-Pyrénées)

Pas d'étymologie connue.

Esparros pourrait être une évolution de Sparhus, la maison du spar, l'éperon. 

 

Espartignac (Corrèze)

L’origine du nom d’Espartignac vient de Spartinius, nom de personnage gallo-romain, qui était le propriétaire du lieu. Le suffixe acum (ac) indique l’appartenance6,7.

Espartignac dériverait de Svartinhhaug, la motte de Svarting. Esbartens (Haute-Garonne) est une évolution de Svartinhus, la maison de Svarting. 

 

Espeillac (Aveyron)

Pas d'étymologie proposée.

Espeillac pourrait dériver de Spjalhaug, la motte de Spjalli. Espieilh (Hautes-Pyrénées) dériverait de Spjalli.

 

Esperce (Haute-Garonne)

Pas d'étymologie proposée.

Esperce pourrait être une évolution de Spoerhus, la maison de Spoer. Le fait que le village soit une bastide atténue cependant la probabilité. Les bastide portaient souvent le nom de leur fondateur. Espeyrac (Aveyron) serait une évolution de Spoerhaug, la motte de Spoer. 

 

Espère (Lot)

Le toponyme Espère est basé soit sur l'occitan aspre, du latin asper qui qualifie un lieu caillouteux qui comporte des difficultés. Aspre donne aspeespeAspera devient Espera2.

Espère pourrait correspondre au prénom Spoer

 

Espieilh (Hautes-Pyrénées)

Du gascon ancien espelh (= poste de guet, du latin speculum) devenu espielh par attraction de espiar.

Ce toponyme pourrait correspondre au prénom scandinave Spjalli.

 

Espiens (Lot-et-Garonne).

Cette section est vide.

Espiens pourrait être une autre variation de Spjallhus, la maison de Spjalli. La présence du microtoponyme Tusque sur cette colline semble confitmer l'origine scandinave. Tusque, du scanduinave tuska, défense désignerait une motte. 

 

Espiet (Gironde)

L'origine du nom de la commune serait le mot gascon espinet qui signifie « ensemble de buissons »1.

Espiet pourrait dériver du prénom Spjot, la lance. Espiute (Pyrénées-atlantiques) aurait la même origine. 

 

Espiute (Pyrénées-atlantiques)

Le toponyme Espiute apparaît3 sous les formes Spiute et Spiuta (1548, réformation de Béarn4) et Sent Barthelemy d'Espiuta (1608, insinuations du diocèse d'Oloron5).

Espiute serait comme Espiet une évolution du prénom Spjoti.

 

Esquerdes (Lot-et-Garonne)

Pas d'étymologie proposée.

Esquerdes fait immanquablement penser à l'espagnol izquierda; la gauche. La tentation est alors grande de faire un rapprochement paronymique. Il existe le prénom scandinave Skaerdi. Skaerdhus aurait logiquement donné Esquerdes. Lesquerde (Aude)

 

Esquiule (Pyrénées-atlantiques)

Selon Jean-Baptiste Orpustan, Esquiule provient du basque ezkiola, « la cabanne des tilleuls » avec assimilation vocalique romane -iola > -iule. Le nom basque moderne a été calqué sur le nom roman8.

Esquiule pourrait être une évolution de skjülhus, le refuge.

 

Estaing (Aveyron)

La localité est mentionnée en 1082 sous le nom de Stagno, désignant un lieu où l'eau stagne, un étang3.

Estaing tient probablement son nom d'Hastein. Estaing contrôle un pont stratégique sur le Lot. L'origine anthroponymique du nom est plus vraisemblbale.

 

Estaques (Gers)

Pas d'étymologie proposée.

Estaques malgré une consonnance très française pourrait être une évolution de Stakkhus, la maison de Stakki.

 

Estarac (Haute-Garonne)

Pas d'étymologie proposée.

Estarac serait une évolution de Starhaug, la motte de Stari. Estarrès (Pyrénées-atlantiques), Estarets (Hautes-Pyrénées) des évolutions de Starhus, la maison de Stari.

 

Esténos (Haute-Garonne)

Le nom d'Esténos est basé sur un oronyme aquitanique apparenté au basque ezten 'aiguillon, alêne' ; le suffixe toponymique -os.

Ce nom dérive de Steinhus, la motte de Stein. Il s'agit du prénom Hastein avec aphérèse. Voir Sentein

 

Estialescq (Pyrénées-atlantiques)

Avec les plus extrêmes réserves de Michel Grosclaude, du gascon Esquiau, croupe de terrain. 

Si on retient la graphie ancienne Estheles (1383), il pourrait dériver de Stalhus, la maison de Stali. Si on retient la graphie Esquialest (1385), il pourrait être une évolution de Skjalfhus, la maison de Skjalfi. . 

 

Estibeaux (Landes)

?Du temps des romains, Estibeaux s'appelait Tastoa.

Estibeaux pourrait être une évolution d'Hasteinborg. Il existe là un oppidum qui aurait été remployé par les hommes du Nord. A rapprocher d'Astaffort.

 

Estigarde (Landes)

Cette section est vide.

Il s'agit d'une évolution probable de Steingard. Voir Astaffort. Bonnegarde.

 

Estillac (Tarn-et-Garonne)

Cette section est vide

Estillac serait une évolution de Steinhaug, la motte de Stein, probablement Hastein. Lestiac-sur-Garonne (Gironde)

 

Eycars (Gironde)

Cette section est vide.

Eycars pourrait être une évolution d'Ingvarhus, la maison d'Ingvar. Ingvar, frère de Bjorn , était surnommé le Cruel.  Les Eycarts (Gironde) et Les Ycarts (Ariège) ont a priori la même origine. A rapprocher d'Yvrac

 

Eycheil (Ariège)

Cette section est vide.

Eycheil est une évolution probable du prénom Eykell ou Egill. Le Tuc d'Eychelle (Ariège) confirme bien qu'Eychelle est un prénom.

 

Eygun (Pyrénées-atlantiques)

Eygun, pour sa part, est mentionnée2 sous la forme Igun (1449)4. Eygun vient probablement d'un basque Ihigun qui signifie jonchaie, de ihi 'joncs' et gun, suffixe locatif7.

Eygun, anc. Igun, pourrait être rapproché de Igon et dériver d'Hakon, connu sous différents noms dans les chartes : Ingon et Aquin .

 

Eyquem (Gironde)

Cette section est vide.
Eyquem pourrait correspondre au prénom Eykell. Voir Eycheil
?

Eyrans (Gironde)

Cette section est vide.

Eyrans pourrait être une évolution d'Haeringhus, la maison d'Haering. 

 

Eyrein (Corrèze)

Cette section est vide.

Eyrein pourrait être une évolution du prénom Haering. A rapprocher d'Eyrans (Gironde).

 

Eysines (Gironde)

Le nom de la commune vient du gascon Aisinas (1259)4 qui désigne les communaux, propriété d’un seigneur, mais où les villageois disposent d’un droit d’usage comme le pacage ou la récolte du bois de chauffage5. Le radical aïs- se retrouve dans le mot français aise4.

Eysines comme Ayssènes (Aveyron) pourrait être une évolution de Has(t)einhus, la maison d'Hastein. A Eysines,  Gasteboy semble dériver de gatborg, le château du passage.

 

Eyzerac (Dordogne)

Cette section est vide.

Eyzerac serait une évolution de Özurhaug, la motte d'Özur.

 

F17

Falgayrac (Tarn)

Cette section est vide.

Falgayrac correspondrait à Falgeirhaug, la motte de Falgeirr.

 

Fier, Pointe du (Charente maritime)

D'après Jean Renaud, Fier serait une évolution du scandinave fjord, terme désignant une vallée envahie par la mer. 

La pointe du Fier tiendrait son nom de fjera, mot scandinave désignant la zone de côte découverte à marée basse. On nomme aussi cette zone estran, terme issu du scandinave strand, plage.  

 

Fignac (Cantal)

Cette section est vide.

Fignac dériverait de Finhaug, la motte de Finn. 

 

Flagnac (Aveyron)

Flagnac, autrefois "Flaicinacum", a une origine gallo-romaine.

Flagnac correspondrait à Fleinhaug, la motte de Fleinn. 

 

Flamarens (Gers)

En réalité, le nom du village n'est attesté que sous les formes anciennes : de Flamalingis en 1097, Flamarenxs en 12894. La finale -ens (parfois -eins cf. Tonneins) est fréquente dans la toponymie du sud ouest, moins ailleurs dans le sud. Elle remonte généralement au germanique -ing(en), suffixe marquant la présence et la propriété. Il a été romanisé en -ingos5Albert Dauzat et Charles Rostaing6 expliquent le premier élément par les noms de personnes germaniques *Fladmal conjecturel, basé sur le thème Flad- commun dans l'anthroponymie germanique, ou alors Flatamar que l'on retrouverait dans le nom de lieu burgonde Flammerans (Côte-d'Or, Flamerens 1139). Ernest Nègre7 leur préfère le nom de personne germanique Filemar(us).

Flamarens pourrait être une évolution de Flaeminghus, la maison de Flaeming. Le forme Flamalingis se rapproche sérieusement de cette hypothèse. Flamagne (Vienne)  pourrait être une variante de Flaeming. Flaman (Gers), Le Flamand (Gironde), Au Flamand (Landes), Flamanville (Manche) ont cette même origine. 

 

Flaugeac (Dordogne)

La première mention écrite connue du lieu est celle de Gaiacensis, relevé au xiie siècle dans le cartulaire de l'abbaye de La Sauve-Majeure et correspondant à un archiprêtréqui en 1710 s'étendait sur 53 paroisses ou chapelles6. En 1555, l'évêché de Sarlat note Gaiacensis seu de Flaviaco (Gageac ou Flaviac)7. Sur la carte établie au xviie sièclepar Johannes Blaeu, le lieu est nommé « Flaviac »8. Le nom de Flaugeac a pour origine le nom d'un personnage gallo-roman Flavius, auquel a été ajouté le suffixe -acum, indiquant ainsi le « domaine de Flavius »7.

Flaugeac correspondrait à Flokhaug, la motte de Floki. 

 

Fléac (Charente)

Les formes anciennes sont Flaiaco en 11107Flayac en 12138. L'origine du nom de Fléac remonterait à un nom de personne latin Flaius, variante de Flavius, auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à *Flaiacum, « domaine de Flaius »9,10.

Fléac pourrait être une évolution de Fleinhaug, la motte de Fleinn.

 

Flotte, la (Charente maritime)

Cette section est vide.

La Flotte porte une nom d'origine scandinave flotti, flotte. Le mot usité par les Francs est le terme latin classis.  

 

Foix (Ariège)

Cette section est vide.

Foix pourrait être un nom d'origine scandinave. La toponymie locale évoque Ragnar (Reins, Raygnac), Björn (Bernou, Bénac), Hastein (Lestang, Seignaux), Asgeir (La Graousse, Le Guerrou, Saint-Cirac), la traite des esclaves Le Terrefort (thraelleborg), Layroule (Harold), Tenac (Thinhaug, la colline du thing),  Salsenac (Solstein). Cette importante toponymie scandinave s'explique par le rôle stratégique de Foix, carrefour de la route Toulouse-Barcelone et de la route Bayonne-Narbonne. Le nom de Foix est trop court pour émettre une proposition solide. Le mot scandinave s'en rapprochant le plus est fors, torrent, rapide... ce qui n'est pas absurde.

 

Fourmagnac (Lot)

Attestée sus la forme Formanhaco dans un pouillé médiéval2. Selon certain, le toponyme Fourmagnac serait formé à partir de furnum magnum qui ferait référence au grand four de la seigneurie de Cardaillac. Mais selon Gaston Bazalgues, Fourmagnac serait plus probablement basé sur l'anthroponymegallo-romain Forminius ou Forminianus. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois -acon (lui-même du celtique commun *-?ko-), souvent latinisé en -acum dans les textes. Ce toponyme signifiait : le domaine de Forminius. Il se retrouve aussi sur la commune de Lavercantière3.

Fourmagnac semble dériver de Farmanhaug, la motte de Farmann. Fourman (Tan-et-Garonne),  Faramans (Isère).

 

Fournac (Tarn)

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Fournac pourrait être une évolution de Fornhaug, la motte de Forni. 

 

Frayssinhes (Lot)

Le toponyme Frayssinhes est basé sur le nom collectif occitan fraisse issu du latin fraxinus qui désigne un bois de frêne et du suffixe -ea3.

Frayssinhes pourrait être uneé volution de Freysteinhus, la maison de Freystein. 

 

Frégimont (Tarn-et-Garonne)

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A priori une évolution du prénom Frigmund.

 

Frégouville (Gers)

Nom de domaine mérovingien en -villa qui a donné -viala, -vielle, -fielle et -ville dans la région, précédé du nom de personne germanique Frico.

Frégouville pourrait être une évolution de Frigulfvilla, la villa de Frigulf. Il s'agit d'un nom hybride comme en Normandie. Il en existe plusieurs autour de Toulouse.

 

Frémont (Ariège)

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Frémont pourrait être une évolution de Frithmund. Toponyme très commun en Normandie. 

 

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