VWXYZ : Vaïssac ... Yvrac
Vaïssac ... Yvrac
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Vaïssac (Tarn-et-Garonne)
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Vaïssac pourrait correspondre phonétiquement à Balshaug, la motte de Balsi qui a également donné Balzac.
Valeyrac (Gironde)
Nom construit sur l'anthroponyme latin Valerius.
Valeyrac pourrait correspondre à Baelirhaug, la motte de Baelir.
Vallans (Deux-Sèvres)
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Vallans pourrait être une évolution de Valhus, la maison de Vale. Valès (Tarn-et-Garonne), Valos (Ardèche), Château Valoux (Gironde)
Valzergues (Aveyron)
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Valzergues pourrait être une évolution de Balshaug, la motte de Balsi. A rapprocher de Balzac.
Vanzac (Charente-maritime)
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Vanzac pourrait correspondre à Benshaug, la motte de Bensi. A rapprocher de Vensac (Gironde).
Varilhes (Ariège)
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Varilhes pourrait être une évolution de Varinhus, la maison de Varinn.
Vars (Charente)
Le nom de la commune est attesté par les formes anciennes latinisées Varno en 1020-10378, Varnum vers 13009. L'origine du nom de Vars remonterait au gaulois verno-, verna signifiant « aulne ». Ce mot gaulois, passé en occitan et en vieux français (vergne), a donné son nom à de nombreuses communes en France10,Note 1.
Vars correspondrait à Biarhus. La forme Varno confirme que la racine Bern est la bonne.
Vaunac (Dordogne)
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Vaunac pourrait être une évolution de Vaenhaug, la motte de Vaeni.
Vaychis (Ariège)
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Vaychis pourrait être une évolution de Bakkhus, la maison de Bakki. A rapprocher de Bachos (Haute-Garonne) et Beychac-et-Caillau (Gironde)
Vayrac (Lot)
Le toponyme Vayrac, d'origine gallo-romaine, est basé sur un anthroponyme Varius.
Vayrac pourrait être une évolution de Bierhaug, la motte de Bier. Veyrac (Haute-Vienne), Beyrac (Landes), Bayrat (Ariège), Birac (Charente), Bérac (Ariège) sont autant de variantes.
Vayres (Gironde)
Vayres était appelée Varatedo à l'époque gallo-romaine. En 1060, la paroisse Sanctus Johannes de Vayras est attestée et la cité est de nouveau mentionnée au xiiie et xive siècles5
Vayres pourrait être une évolution de Bierhus, la maison de Bier. Bayrès (Pyrénées-atlantiques), Beyres (Landes), Veyres (Lozère), Beyris (Pyrénées-atlantiques), Beyries (Landes), Beyriès (Gers). Mais aussi Biars-sur-Cère (Lot) et Biarritz (Pyrénées-atlantiques). Bier, c'est Björn, le chef de l'invasion.
Vénac (Tarn)
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Vénac serait une évolution de Vaenhaug, la motte de Vaeni. Le village voisin, Veilhes pourrait très bien être une évolution de Vaenhus, la maison de Vaeni.
Vendays-Monthalivet (Gironde)
Le nom de Vendays serait une contraction des mots gaulois : vindos, signifiant « blanc », et ialo, « clairière »1.
Vendays pourrait dériver de Vandillhus, la maison de Vandill. Benteille au Haillan ferait référence au même prénom. Idem pour Benteyac à Habas dans les Landes.
Vensac (Gironde)
Pas d'étymologie proposée.
Vensac dérive logiquement de benshaug, la motte de Bensi.
Ventenac (Ariège)
Nom d'homme latin Ventinus + acum.
Ventenac pourrait être une évolution de Benteinhaug, la motte de Bentein. Ventenac-Cabardès (Aude) et Ventenac-en-Minervois (Aude). Voir Bentenac (Haute-Garonne)
Ventilhac (Gard)
Pas d'étymologie proposée.
Ventilhac serait une évolution de Vandilhaug, la motte de Vandil. Ventillac (Haute-Vienne) et Vintilhac (Tarn-et-Garonne) ont la même origine. Benteille au Haillan (Gironde) dériverait de Vandil.
Verdelais (Gironde)
Verdelais dérive d'un nom de personne de type *Verdulus, muni du suffixe à consonne sifflante de type basco-aquitain -aitze2. L'étymologie populaire est viridis lucus « forêt verte », mais dans ce cas les lois de la phonétique historique du gascon mèneraient à *Ber(t)luc/*Ver(t)luc, ou plutôt à Lucbert.
Verdelais serait une évolution de Bertilhus, la maison de Bertill.
Verdets (Pyrénées-atlantiques)
Le toponyme Verdets apparaît3 sous les formes Berdes (xe siècle, cartulaire de l'abbaye de Lucq4), Berdez (xie siècle, d'après Pierre de Marca5), Bardez (xiie siècle, collection Duchesne volume CXIV6), Berdegs (1385, censier de Béarn7) etSent-Johan de Berdetz (1422, notaires de Lucq8).
Verdets pourrait être une évolution de Bardhus, la maison de Bard. A rapprocher de Bardos.
Verfeil (Haute-Garonne)
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Verfeil n'est pas un nom d'origine scandinave. Verfeil accueillait un palais carolingien. Il s'agit sans doute de Ferrucius Villa dans laquelle Charles le Chauve s'arrête avant d'assiéger Toulouse en juin 844. Jusqu'à présent, on assimilait Castelferrus (Tarn-et-Garonne) à Ferrucius Villa.
Vergeroux (Charente maritime)
L'origine du nom de Vergeroux retient une hypothèse étymologique : du latin viridarium signifiant verger.
Vergeroux pourrait être une évolution de Berggeirhus, la maison de Berggeir. A rapprocher de Bergerac.
Vernaux (Ariège)
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Vernaux serait une évolution de Bernhus, la maison de Björn. Vernoux (Deux-Sévres) a la même origine.
Vert-Bois (Charente-maritime)
Ce nom ne présente a priori pas de difficulté. Si ce n'est qu'il est absurde. Vert-Bois correspondrait à Bierborg, la château de Bier, alias Björn. Virebois, Frontenay Rohan Rohan (79), Fierbois Capbreton (40), Ferbos Cadaujac (33), Birebout (St Emilion), Bireboy (Lot-et-Garonne), Birebouch (Gers)
Verteillac (Dordogne)
Pas d'étymologie proposée.
Verteillac serait une évolution de Bertilhaug, la motte de Bertill. Verteilhac (Lozère) a la même origine. Berteil (Aude) et Berteille (Aveyron) feraient référence à Bertill.
Verteuil-d'Agenais (Lot-et-Garonne)
L'origine du nom de Verteuil remonterait à un nom de personne gaulois Vertus auquel est apposé le suffixe gaulois -ialo signifiant « clairière, champ », ce qui donnerait *Vertoialos, "la clairière de Vertus". Vert- est une racine de nom gaulois d'origine pré-celtique, au sens inconnu9,Note 1.
Verteuil serait une évolution de Bertill.
Veyrac (Haute vienne)
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Veyrac serait une évolution de Bierhaug, la motte de Bier.
Veyrignac (Dordogne)
Mentionné sous la forme latinisée Verinaco au xiie siècle, puis occitane à finale latinisée Vayrinhacum en 13503. Nom gallo-roman en -acum, précédé d'un nom de personne gallo-roman Veterinius4.
Veyrignac pourrait être une évolution de Varinhaug, la motte de Varinn.
Villaudemard (Alpes-de-Haute-Provence)
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Villaudemard semble être une évolution de Valdemarr. Voir Seyne.
Villaudric (Haute-Garonne)
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Villaudric pourrait être une transcription du prénom Baldrek. Voir Baudreix (Hautes-Pyrénées). Il pourrait égakement s'agir d'une bastide fondée par un certain Audric.
Villembits (Gers)
Du latin villa (= ville) et ambitus (= rempart).
Villembits pourrait être une évolution de Vilhjalm. Bits pourrait être une évolution de boe, ferme, qui a donné les noms en -by en Angleterre, mais ce serait étonnant. Le nom parait davantage germanique que latin.
Villemontais (Loire)
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Villemontais pourrait être une évolution de Vilmundhus, la maison de Vilmund.
Villesèque (Lot)
Le toponyme Villesèque, en occitan Vilaseca, d'origine médiévale, est basé sur villa et seca qui désigne une ville sèche2.
Malgré une apparence latine, Villesèque pourrait faire allusion au prénom scandinave Vitserk.
Vimaney, Le (Gironde)
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Le Vimaney, situé en bord de Gironde, pourrait être une évolution de Vigmaney, l'île de Vigman.
Vimont (Dordogne)
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Vimont pourrait être une évolution de Vigmund. Bimont (Lot-et-Garonne) aurait lamême origine. On trouve un Vimont dans le Calvados.
Viodos (Pyrénées-atlantiques)
Le toponyme Viodos apparaît sous la forme Biodos (14961, contrats d'Ohix2).
Viodos pourrait être une évolution de bjüdhus, la maison de commandement. A rapprocher de Biaudos (Landes), Bidos (Pyrénées-atlantiques), Budos (Gironde), Vidous (Hautes-Pyrénées), Vidou (Lot-et-Garonne).
Visker (Hautes-Pyrénées)
« Visker » viendrait du basque Biskar qui signifie « crête allongée ».
Voir Biscarosse
Vrillant (Gironde)
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Vrillant pourrait être une transcription phonétique de Brian>Biarn>Björn. A rapprocher Breillan et Brion (Lozère).
Y7
Ychoux (Landes)
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Ce nom pourrait être comme Ygos une évolution de Ygghus, la maison de Ygg.
Yeu Île d' (Vendée)
L'île d'Yeu, jadis Augia et Insula Oya au vie siècle (source?)1, ad Oiam insulam au xie siècle. Yeu comme Oye (62) est une évolution du mot germanique auwja/augjo signifiant « prairie humide », puis « terre entourée d'eau » et « île ». Yeu signifie donc « île » et Île-d'Yeu est alors une tautologie, signifiant : « l'île de l'île ».
L'île d'Yeu pourrait dériver du scandinave ey, île.
Yffiniac (Côte d'Armor)
Le nom de la localité est attesté sous les formes Ilfiniac en 1182, Iffiniac en 1207, Parochia d'Yffiniac en 1311 et vers 1330, Affiniac en 1320, Yffyniac en 1418, Yfiniac en 1419, Affiniac en 1423, Yffinnac en 1426, Yfiniac en 1432, Eyffiniac en 1435, Yffiniac en 1435 et en 1490, Finiac en 1480, Yfiniac en 1514, Finyac en 1536, Defynyac en 1552, Ifiniac en 15691, Issiniac en 18012, Iffiniac en 18023. Yffiniac vient, semble-t-il, d'un gaulois nommé Ivino ou Ivinius 1.
Yffiniac, anc. Finhac, serait une évolution de Finhaug, la belle forteresse. Sans doute une allusion au camp de Péran qui domine la baie et qui fut occupé par les hommes du Nord.
Ygos (Landes)
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Ygghus, c'est la maison de Ygg, devenu en français Hugues.
Yves (Charente maritime)
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Yves, anc. Iues, dérive logiquement de ey, île. Comme l'île d'Aix, Dolus d'Oléron, l'île d'Yeu, Doix (Vendée)
Yviers (Charente)
Les formes anciennes sont Iverio en 1083-1098, Vier en 1109, Yverio en 11006. Selon Talbert, l'origine du nom d'Yviers remonterait à un nom de personne gallo-romain Iberius, dérivant du nom du peuple des Ibères, ce qui correspondrait à Iberius [fundus], « domaine d'Ibérius »7. A.Dauzat, quant à lui, préfère une origine germanique de ce nom : Ew-hari8.
Yviers pourrait être une évolution de Ivarhus, la maison d'Ivar.
Yvrac (Gironde)
Pas d'étymologie.
Yvrac pourrait correspondre à Ivarhaug, la motte d'Ivar. Ivar est vraisemblablement le frère de Björn, Ivar le Cruel. Au début des invasions, ce chef paraplégique n'assure pas de commandement majeur, mais après 865 et les disparitions de plusieurs chefs majeurs : Björn et Asgeir notamment, il assume le commandement des forces vikings en Angleterre où il devient roi d'York et de Dublin. Ilbaritz serait une évolution d'Ivarhus.
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